lundi 19 octobre 2009

L'écologie de Disney (suite)

Nous continuons donc notre sujet sur toutes les conséquences et questions que l'on peut se poser avec le film "Wall-E".
Petit rappel : Wall-E vient d'atterrir dans le vaisseau spatial de tous les humains dans l'espoir de retrouver sa dulcinée, Eve.

Mais quittons un instant notre ami Wall-E et jetons un coup d'œil sur l'apparence et le mental des humains. Dans le film, on peut voir que toute la vie des hommes est programmée par des ordinateurs qui sont chargés de rendre leur vie plus facile. Petit problème : tous sont devenus gros, immense et ne savent même plus marcher ! Mais ce n'est pas le pire ! Les humains ont tout perdus de leurs savoirs.
En effet, ils ne savent même plus cultiver, pêcher, chasser ou même simplement cuisiner. La raison est que toutes leurs tâches sont faites par des ordinateurs ou par des robots. De plus, les humains ne s'adonnent même plus à tous les plaisirs que l'on a aujourd'hui ! Il y a même des robots, par exemple, qui font du sport à leurs places !




Capitaine du vaisseau spatial avec l'ordinateur de bord==>








On peut se poser la question. Avec toutes les technologies que l'on a aujourd'hui et avec toute l'expansion de celles-ci, ne pourrait-on-pas, un jour, ressembler à cela ?
A réfléchir...

Comme toute histoire à une fin, je vais finir celle-ci.
Eve donne donc la plante au capitaine du bateau et celui-ci commence à se renseigner sur la Terre et à vouloir y retourner. Mais l'ordinateur de bord s'y refuse ! C'est un point intéressant car même avec toute la technologie que possède les humains du film, le capitaine se retrouve tout débordé et tout envahi par ce robot qui n'obéit pas à ses ordres !
Ce robot caractérise aussi la peur que nous avons par rapport à l'intelligence artificielle. Mais ce n'est pas la première fois que l'on voit cela : de nombreux films comme Terminator ou I-Robot reprennent cette idée.
Au final, Wall-E et Eve réussissent à rentrer sur Terre avec tous les humains afin de reprendre la Terre en main.

Thomas Laurent

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